Invité de l’émission Un soir à la Tour Eiffel, Yannick Noah est revenu sur la censure qui touche Dieudonné et n’a pas hésité à défendre l’antisémite.
En juin dernier Yannick Noah défendait son « ami » Dieudonné sur l’antenne de RTL, confiant qu’il le « faisait rire », mais regrettant ses prises de position politiques. Ce mercredi 22 octobre, l’ancien tennisman était l’invité de l’émission Un soir à la Tour Eiffel a tenu une fois de plus à défendre l’humoriste.
Face à Alessandra Sublet, Yannick Noah a reproché la censure qui touche Dieudonné depuis maintenant plusieurs mois. « Il y a des gens qui ont décidé qu’il n’était plus drôle« , déplore-t-il avant d’ajouter qu’il le trouve « très fort » sans être pour autant d’accord sur ses positions. Le chanteur ne s’explique également pas l’interdiction dont a été victime Dieudonné pour son spectacle en début d’année. « Pourquoi interdire ? De quel droit ? Pourquoi interdire untel par rapport à untel ?« .
Invité lui aussi du programme de France 2, Patrick Timsit a été un peu plus dur avec Dieudonné. S’il s’est « marré et passé des journées à rire sur le tournage des 11 commandements », l’humoriste a dépassé les limites « le jour où il a pris Faurisson dans les bras« . Timsit regrette les « associations immondes » de Dieudonné, mais essaye d’expliquer ses dérapages par la censure dont il est victime. « C’est parce qu’il a été enfermé dans une boîte à chaussures, interdit de radio, de télé, qu’on en a fait ça : un homme qui veut exister » conclut-il.
Source : http://www.europe-israel.org
serait temps que le vent change de direction pour une fois ! enfin
RépondreSupprimerOui c'est bien vrai , Noah ne s'est pas laisser à l'intimidation des dirigeants TV, bravo à lui car il faut dénoncer .
RépondreSupprimerPourquoi interdire untel par rapport à untel ?
Un invité goy et 3 présentateurs juifs, et je ne parle pas de la régie derrière..La télévision française est plus que jamais sous haute surveillance....
RépondreSupprimerYannick NOAH l'a soutenu un peu tard, il participe à la gamelle, je ne l'aime pas
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